Tout plaide en faveur de l’initiative de limitation !

Jamais encore un objet de votation n’avait pris en considération et cherché à protéger de manière similaire toutes les générations et groupes de personnes – cette initiative populaire touche tous les sujets importants de notre société. Elle lutte contre le chômage des personnes de plus de 50 ans, qui résulte du dumping salarial importé de l’UE, et contre le pillage des assurances sociales (aide sociale, AVS, AI, assurance chômage). Elle lutte contre la pénurie de logements pour les jeunes et personnes aux revenus modestes et très modestes dans les villes, contre le stress dû à la densité qui accable les pendulaires dans les transports publics ou sur les routes. L’initiative de limitation s’attaque à la violence et à la criminalité en hausse, et elle lutte avec acharnement contre la destruction de la nature. Libérons-nous de cette évolution dangereuse – votons OUI !

1.

On étouffe !
Toutes les générations sont concernées.

Les autorités et les médias taisent les conséquences de la libre circulation des personnes avec l’UE qui nuit fortement à toutes les générations en Suisse. Le stress est omniprésent – dans les transports publics et sur la route. Les jeunes ne trouvent plus de logements abordables en ville, et les auditoires sont surpeuplés. Les travailleurs sont mis en concurrence avec des immigrés moins bien payés, et les employés âgés sont remplacés par des ressortissants de l’UE car ils sont devenus « trop chers ». Six bénéficiaires de l’aide sociale sur dix sont des étrangers et notre mode de vie est de plus en plus menacée dans les écoles. On étouffe et la situation va s’aggraver de plus en plus.

Conclusion : il faut stopper l’immigration incontrôlée !
OUI à l’initiative de limitation

2.

La place commence à manquer
Les employés sont concernés

Conséquence de la libre circulation des personnes : la pression sur les emplois augmente en Suisse, car les immigrés et les frontaliers coûtent moins cher. Malgré la préférence nationale à l’embauche : de nombreux employés suisses sont licenciés à l’approche de la cinquantaine, et les charges sociales augmentent. On étouffe professionnellement et il y a de moins en moins de place.

Conclusion : il faut stopper l’immigration incontrôlée !
OUI à l’initiative de limitation

3.

 
La pression sur les salaires augmente

Les prestations sociales et salaires en Suisse sont très attractifs pour les 440 millions d’habitants de l’UE (désormais sans la Grande-Bretagne). En raison de l’immigration incontrôlée, il y a en moyenne 80 000 immigrés environ de plus par année en Suisse. Ils coûtent moins cher aux entreprises et la pression sur les salaires suisses augmente. Conséquence : dumping salarial ! Même les syndicats sont inquiets ! On étouffe financièrement et il y a de moins en moins de place.

Conclusion : il faut mettre un terme à la libre circulation des personnes avec l’UE !
OUI à l’initiative de limitation

4.

La place commence à manquer
Logements en ville inabordables

En moyenne, la population en Suisse augmente de 80 000 immigrés environ par année depuis l’entrée en vigueur de la libre circulation des personnes avec l’UE en 2007 ! Les villes débordent de toutes parts. Résultat : grave pénurie de logements et loyers inabordables pour les jeunes et la classe moyenne ! Chaque jour, des centaines de personnes jouent des coudes pour trouver un logement. En 12 ans, nous sommes passés de 7,5 à 8,55 millions d’habitants ! Voulons-nous franchir la barre des 10 millions dans quelques années ? On étouffe dans notre propre pays et il y a de moins en moins de place.

Conclusion : il faut stopper l’immigration incontrôlée !
OUI à l’initiative de limitation

5.

La place commence à manquer
Pour la nature et les terres agricoles

En moyenne, la Suisse compte 80 000 immigrés environ en plus par année depuis 2007 en raison de l’immigration incontrôlée ! Cela représente chaque année plus que l’agglomération de Neuchâtel ! Les terres agricoles disparaissent inexorablement, la nature est bétonnée, l’impact néfaste sur l’environnement augmente et la biodiversité souffre. On étouffe écologiquement et il y a de moins en moins de place.

Conclusion : il faut mettre un terme à la libre circulation des personnes avec l’UE !
OUI à l’initiative de limitation

6.

On étouffe !
Une qualité de vie de plus en plus menacée.

Depuis l’entrée en vigueur de la libre circulation des personnes avec l’UE en 2007, la Suisse compte en moyenne 80 000 immigrés environ en plus chaque année. Soit chaque année plus que l’agglomération de Neuchâtel ! Nos espaces de vies, de loisirs, de travail et de convivialités se réduisent inexorablement. Notre qualité de vie disparaît de plus en plus.

Conclusion : il faut stopper l’immigration incontrôlée !
OUI à l’initiative de limitation

7.

Las place commence à manquer
Les transports publics et les routes sont surchargés

En moyenne, la population en Suisse augmente de 80 000 immigrés environ par année depuis 2007 en raison de l’immigration incontrôlée. Soit chaque année plus que l’agglomération
de Neuchâtel ! La place manque en ville, et de plus en plus de personnes déménagent à la campagne. Toujours plus de pendulaires ! Résultat : création de cités-dortoir, trains, trams et bus bondés, sales et de moins en moins ponctuels. Et sur les routes : des bouchons et toujours des bouchons On étouffe et c’est de plus en plus
pénible de se déplacer.

Conclusion : il faut mettre un terme à la libre circulation des personnes avec l’UE !
OUI à l’initiative de limitation

8.

 
Les infrastructures menacent de s’effondrer.

La Suisse croît en raison de l’immigration incontrôlée (déjà 8,55 millions d’habitants) et la barre des 10 millions d‘habitants sera bientôt dépassée ! Les crèches, jardins d’enfants, écoles et universités sont saturés ! Le réseau ferroviaire et routier ainsi que les ponts n’évoluent pas à la même vitesse. Se rendre au travail ou à la campagne devient une véritable torture. Des trains bondés, de moins en moins ponctuels et souvent mal entretenus, et des bouchons sur les routes et autoroutes. Le développement est à la traîne, voire impossible. Tous les usagers – piétons, cyclistes, automobilistes, camionneurs et usagers des transports publics – jouent des coudes pour préserver un peu d’espace. On étouffe dans notre propre pays et il y a de moins en moins de place.

Conclusion : il faut mettre un terme à la libre circulation des personnes avec l’UE qui est néfaste !
OUI à l’initiative de limitation

9.

La place commence à manquer
Pour la sécurité

Nos frontières sont grandes ouvertes depuis l‘introduction de la libre circulation des personnes avec l‘UE. Des bandes organisées de malfrats, voleurs et cambrioleurs des régions limitrophes viennent régulièrement et trop facilement commettre leurs délits, partout en Suisse, avant de repartir sans grandes difficultés. La Suisse a abandonné le contrôle de ses frontières et livré ses habitants à l’insécurité. Et la situation va empirer.

Conclusion : il faut stopper l’immigration incontrôlée !
OUI à l’initiative de limitation

10.

On étouffe !
Les institutions sociales sont au bord de la faillite !

Depuis l’entrée en vigueur de la libre circulation des personnes avec l’UE, la Suisse compte en moyenne 80 000 immigrés en plus par année. Soit chaque année plus que l’agglomération de Neuchâtel ! Bien que minoritaires, les immigrés représentent plus de la moitié des bénéficiaires de l’aide sociale. Il arrive fréquemment que les immigrés de l’UE frappent après quelques mois seulement en Suisse aux portes des guichets sociaux. Cela attire évidemment aussi les profiteurs. Tous veulent bénéficier de l’AVS, du chômage et de notre prévoyance. On étouffe socialement et il y a de moins en moins d’argent.

Conclusion : il faut stopper l’immigration incontrôlée !
OUI
à l’initiative de limitation

11.

On étouffe!
À cause de l’autoritarisme de l’UE qui nuit à la Suisse

Nous voulons entretenir de bons rapports avec l’UE. Mais cela ne signifie pas que nous devions nous soumettre à l’UE. En raison de la libre circulation des personnes avec l’UE, la Suisse épuise ses ressources et pourrait bientôt compter 10 millions d’habitants ! La pression sur les salaires augmente pour les plus de 50 ans, le chômage des personnes âgées progresse et la pénurie de logements frappe les jeunes dans les centres urbains. Les trains sont bondés, les routes congestionnées et le paysage bétonné. Personne ne souhaite une telle situation mais pourtant elle arrive. On étouffe dans notre propre pays et il y a de moins en moins de place.

Conclusion : il faut stopper l’immigration illimitée !
OUI à l’initiative de limitation

12.

La place commence à manquer
La sécurité énergétique est mise en péril

En raison d’une immigration incontrôlée et illimitée, la Suisse pourrait compter bientôt 10 millions d’habitants ! Le besoin en énergie pour les transports et les ménages augmente donc aussi. La production énergétique en Suisse ne parvient pas à suivre, et la Suisse dépend de plus en plus des importations (des usines de charbon allemandes et des centrales nucléaires françaises). Les appels à économiser l’énergie et à protéger l’environnement deviennent vains et absurdes. On étouffe et la consommation d’énergie augmente de plus en plus.

Conclusion : il faut mettre un terme à la libre circulation des personnes avec l’UE qui est néfaste !
OUI à l’initiative de limitation

13.

La place commence à manquer
Dans les universités et aux postes intéressants

Depuis l’entrée en vigueur de la libre circulation des personnes avec l’UE, les étudiants ont de plus en plus de peine à trouver une place dans les auditoires, et les postes d’assistants sont de moins en moins attribués à la relève suisse. S’y ajoute un changement de culture au plus haut niveau des directions des entreprises suisses, où les valeurs suisses sont de moins en moins présentes. Une situation dangereuse pour notre mode de vie et la cohésion sociale. On étouffe et notre mode de vie disparaît de plus en plus.

Conclusion : il faut stopper l’immigration incontrôlée !
OUI à l’initiative de limitation

14.

La place commence à manquer
Pour nos valeurs et traditions

En raison de l’immigration incontrôlée, nos acquis culturels et sociaux risquent de disparaître. Des frontières ouvertes en permanence laissent tout passer. Polygamie, oppression des femmes et jeunes filles, racisme et antisémitisme, pédagogie douteuse, violence, bandes criminelles, haine, rodéos routiers … Dans le même temps, les institutions semblent de moins en moins en mesure de contenir ce climat agressif, les menaces sur nos mœurs et la criminalité galopante. On étouffe culturellement et il y a de moins en moins de place.

Conclusion : il faut mettre un terme à la libre circulation des personnes dangereuse !
OUI à l’initiative de limitation

15.

On étouffe
Accords avec l’UE : sans valeur lorsqu’on en a besoin

La crise du coronavirus a révélé que de nombreux accords avec l’UE ne valent même pas le papier sur lequel ils sont écrits. Lorsque la crise s’est aggravée et lorsque la Suisse a cherché à importer des aides médicales achetées en toute légalité, elles ont été bloquées par des pays membres de l’UE comme l’Allemagne et la France ! Contrairement aux accords internationaux de libre-échange (OMC) ! Le Conseil fédéral s’est rendu à plusieurs reprises à Bruxelles et il y a obtenu des promesses… qui n’ont une fois de plus pas été tenues.

Allons-nous naïvement ouvrir les frontières à de tels « partenaires » sans les contrôler ? Conclure avec de tels partenaires un nouvel accord-cadre ? Certainement pas ! Avec un oui à l’initiative populaire pour une immigration modérée, nous émettons un signal clair à Bruxelles (et au Conseil fédéral, qui est apparemment toujours à la botte de l’UE).

Conclusion : Mettons un terme à la libre circulation des personnes avec l’UE !
OUI à l’initiative de limitation

16.

On étouffe
Les limites de la globalisation

La crise du coronavirus l’a montré clairement : des frontières non contrôlées sont dangereuses ! À cause de la libre circulation des personnes avec l’UE, la Suisse a été particulièrement frappée par cette crise ! Un exemple bouleversant. À la fin janvier 2020, cette épidémie a explosé en Chine. 14 jours plus tard, elle a atteint l’Italie du Nord (Milan). Peu de jours après, on a pris conscience de l’étendue de la pandémie. Compte tenu des 76’000 frontaliers/frontalières quotidiens en provenance de la Lombardie, les politiciens et politiciennes tessinois ont immédiatement exigé : fermez les frontières ! Mais le Conseil fédéral, soumis à l’UE, a fait la sourde oreille. Ce n’est qu’un mois plus tard, après que tous les pays voisins aient fermé leurs frontières, que le Conseil fédéral a suivi leur exemple. Cette indécision n’est pas sans conséquence sur l’étendue de cette épidémie et sur les personnes contaminées, ni sur les victimes de ce virus.

Avec environ 330’000 frontaliers/frontalières qui traversent la frontière chaque jour, la Suisse est devenue le pays avec la plus grande proportion de personnes infectées ! Un triste record.
La globalisation a montré ses mauvais côtés. La Suisse doit en tirer les leçons et reprendre le contrôle de ses frontières !

Conclusion : Mettons fin à la libre circulation avec l’UE !
OUI à l’initiative de limitation

17.

On étouffe
Frontaliers oui, mais… 

Dans la crise du coronavirus (qui s’est en grande partie propagée par les plus de 330’000 frontaliers/frontalières), on a pu se rendre compte que la Suisse a négligé son indépendance, par exemple en matière de personnel soignant indigène. Personne ne peut en être blâmé. MAIS on doit en tirer des enseignements. Il faudra rendre les soins infirmiers et les soins aux personnes âgées bien plus attractifs et la Suisse doit désormais former son propre personnel qualifié ! Notre dépendance aux pays membres de l’UE doit impérativement être réduite ! Également dans le domaine artisanal et industriel !

Nous augmenterons de la sorte notre autosuffisance et notre sécurité d’approvisionnement et, en cas de crise, nous contrôlerons aussi plus efficacement nos frontières. Pour protéger les citoyennes et citoyens de la Suisse !

Conclusion :  Mettons un terme à l’immigration incontrôlée!
OUI à l’initiative de limitation

18.

On étouffe
Le boomerang : « des travailleurs qualifiés de l’UE» au chômage

L’épidémie du coronavirus en Suisse révèle à quel point les trop nombreux ressortissants de l’UE ayant immigrés en Suisse pèsent lourd sur l’économie et les assurances sociales suisses. Prenons l’exemple dramatique de notre gastronomie et hôtellerie. Tous les restaurants ont dû fermer leurs portes dans un délai de quelques heures. Mais à présent, plusieurs milliers de ressortissants de l’UE employés dans ces secteurs sont concernés par le chômage et le chômage partiel et ont droit aux prestations correspondantes, indépendamment de la date à partir de laquelle ils ont versé des cotisations aux assurances sociales suisses.

Il faut rendre les métiers de la gastronomie et de l’hôtellerie bien plus attractifs pour les Suissesses et les Suisses et notre pays doit d’urgence former un plus grand nombre de personnes qualifiées ! C’est moins cher et plus durable que la situation à laquelle nous sommes confrontés maintenant. Nous augmenterons de la sorte notre sécurité d’approvisionnement et contrôlerons plus efficacement nos frontières lors de situations critiques. Pour protéger les citoyennes et citoyens suisses !

Conclusion : Mettons fin à la libre circulation avec l’UE !
OUI à l’initiative de limitation

19.

On étouffe
Des milliers de PME sacrifiées sur l’autel de la libre circulation des personnes

La crise du coronavirus présente – à ce stade – une facture d’une douzaine de milliards de francs à l’économie suisse et les principales victimes sont les PME et leurs collaborateurs. Ces milliards doivent être investis dans le chômage partiel et les crédits d’urgence. Personne ne sait si ces milliards de la fortune nationale (qui appartiennent donc au peuple) pourront un jour être remboursés !

Ces dégâts gigantesques sont causés par l’immigration incontrôlée : en plus de la croissance démographique démesurée, la libre circulation des personnes avec l’UE occasionne maintenant aussi des milliards de francs en dommage pour les PME, respectivement pour les assurances sociales. C’est la classe moyenne qui va devoir en payer le prix.

Les dégâts sont faits et personne ne peut en être rendu responsable. Mais la Suisse doit maintenant D’URGENCE revoir ses rapports, bien trop généreux, avec l’UE.

Conclusion : Mettons fin à l’immigration incontrôlée !
OUI à l’initiative de limitation